Pourquoi acheter en seconde main ? Entre économie et environnement.

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Pourquoi acheter en seconde main ? Entre économie et environnement.

La seconde main semble être en vogue en ce moment. Comment trouver LA pièce vintage ? Mais si c’était plus que cela ? La seconde main prend de plus en plus d’ampleur en ce moment. Les uns accusent les trends qui passent, d’autres pensent que c’est un acte militant pour le climat. Et si la seconde main était tout cela, mais bien plus encore ?

Beaucoup de personnes sont presque dégoûtées par la seconde main ; émotion basée sur des croyances diverses et nous allons en décortiquer quelques-unes :

« En seconde main, on trouve que des pièces de mauvaise qualité »

Détrompez-vous ! La seconde main ce sont des habits portés (ou pas) dont les personnes ne veulent plus et se débarrassent. Cependant, ce ne sont pas forcément des pièces de mauvaise qualité pour autant. Avant que les vêtements se retrouvent en magasin, ils sont d’abord soigneusement triés. Ainsi, seuls les habits en bon état se retrouvent en vente dans nos magasins Ateapic. Par ailleurs, une grande quantité des vêtements que les gens ne veulent plus arrivent dans les étals des magasins de seconde main sans même avoir été portés auparavant et sont encore porteurs d’étiquettes d’origine !

« La seconde main, ça sent la grand-mère »

Faux ! Les boutiques comme Ateapic et même les particuliers lavent souvent les vêtements avant de les mettre en vente. Nous sommes d’accord, l’odeur est différente, mais saviez-vous qu’il s’agit de produits chimiques, comme le chrome, le nickel, le plomb ou encore les colorants azoïques qui sont omniprésents sur les vêtements avant d’être vendus en grande surface ? En effet, ces habits sont souvent recouverts de produits toxiques (cancérigène, perturbateurs endocriniens, etc.) afin de les préserver lors de leur fabrication, du transport et pour leur conservation.

Vêtements

« La seconde main c’est ringard »

Il est difficile d’être d’accord avec cette affirmation lorsqu’on regarde l’évolution de la mode ces 20 dernières années : la mode est cyclique. Alors bien sûr, les pièces ne peuvent pas être stylées de la même manière qu’à leur époque de création. Parfois, elles nécessitent des petites altérations, parfois elles ont juste besoin d’être mises en valeur avec le bon accessoire et parfois elles sont justes parfaites telles quelles. Styliser des pièces de seconde main est avant tout un terrain de jeu où votre imagination est reine ! Découvrez par vous-même le grand choix disponible chez Ateapic.

« La seconde main c’est pour les pauvres »

Est-ce vraiment le cas ? Il y a une vingtaine d’années, la seconde main était avant tout consommée par des personnes en manque de moyens et que très marginalement par celles et ceux à la recherche de perles rares. Mais à l’ère de la fast-fashion où certains vêtements ne valent plus rien, des pièces sont presque données à des prix dérisoires par des mastodontes de l’ultra fast fashion qui ont pour seul but de vendre un maximum en poussant à la consommation.

Alors, la seconde main, a-t-elle encore ce rôle de vêtements abordable ? Oui et non. Alors que la mode de la seconde main est en plein essor et s’étend de plus en plus, les boutiques qui ouvrent s’adressent aussi à différents publics et à différents portes-feuilles. De la boutique vintage aux boutiques de seconde main de luxe en passant par des magasins de seconde main en gros, styles et prix diffèrents ; à vous de trouver l’endroit où vous irez faire votre shopping second-hand, et pourquoi pas, dans l’une de nos boutiques ?

« Il n’y a que de la fast fashion dans les magasins de seconde main »

Même si de plus en plus de vêtements de la fast-fashion atterrissent dans les boutiques de seconde main, la seconde main ne se consomme pas de la même manière que la fast-fashion. Pour acheter une pièce seconde main, on prend notre temps et on évite les abus. En effet, il faut la chercher pendant un petit moment, jusqu’à retrouver la pièce avec le style souhaité, la coupe parfaite et la taille idéale. Néanmoins, la seconde main ne peut pas régler à elle-seule cette tendance sociétale qui pousse à l’hyper consommation.

Recycler

Voilà quelques mythes qui entourent la seconde main. Une autre croyance qui accompagne la seconde main c’est qu’elle est bien plus écologique… Mais ça, c’est vrai !

Il faut également savoir que la seconde main agit directement sur la demande. Plus les grandes enseignes arrivent à vendre, plus ils créent pour assouvir la demande. De ce fait, plus on consomme de la seconde main, plus il sera possible de contrer cette demande.

Tous les habits finissant en seconde main sont des habits recyclés. Sans le circuit de la fripe, ils seraient jetés, incinérés au mieux ou alors laissés sur des décharges en plein air à l’autre bout du monde, contribuant encore plus à la pollution. De plus, la vente de vêtements de seconde main est souvent organisée à un niveau plus local, diminuant ainsi leur empreinte carbone.

Alors pourquoi acheter de la seconde main ?

Il y a une raison pour chacun. Que ce soit par volonté écologique, par besoin économique ou juste pour avoir un style unique et original, les pièces de seconde main regorgent d’arguments pour qu’on vienne les chiner !

Ateapic : Votre destination mode éthique et responsable en Suisse.

Finalement, adopter une consommation plus responsable et locale devient un choix crucial face aux défis environnementaux actuels. Ateapic se positionne en acteur clé de cette démarche en proposant des vêtements et accessoires de seconde main collectés dans tout le canton de Vaud.

En choisissant Ateapic, vous optez pour une consommation plus responsable et locale. Nos vêtements de seconde main, soigneusement sélectionnés et préparés, vous offrent la possibilité de renouveler votre garde-robe sans impacter l’environnement. De plus, en achetant chez nous, vous soutenez l’économie circulaire et l’insertion professionnelle. Ateapic, c’est l’assurance de trouver des pièces uniques, de qualité et à des prix abordables, tout en faisant un geste pour la planète. Alors, prêt-e à rejoindre la communauté Ateapic et à adopter un mode de consommation plus conscient ?